Wednesday, February 6, 2013

Téléchargement PDF Passé imparfait

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Passé imparfait

Détails sur le produit

Poche: 624 pages

Editeur : 10 X 18 (4 juin 2015)

Collection : Littérature étrangère

Langue : Français

ISBN-10: 226406501X

ISBN-13: 978-2264065018

Dimensions du produit:

11 x 3 x 17,8 cm

Moyenne des commentaires client :

4.0 étoiles sur 5

71 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

14.133 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

On se doit d’imaginer que l’auteur avait ses raisons d’écrire une postface (par ailleurs assez brève), dans laquelle il explique la genèse de son roman, plutôt qu’une préface, mais cela ne m’empêchera pas de vous recommander de commencer par la postface si vous disposez de/achetez ce livre; vous comprendrez ainsi aisément que ce roman est une transposition littéraire (et bien évidemment fictive) de ce que Julian Fellowes connaît de l’intérieur : le monde de l’aristocratie anglaise, de l’anxiété des mères (en particulier) de présenter leurs filles (et fils) à des alliances possibles (entre gens bien nés) et du désir de la haute bourgeoise de vouloir en faire partie. Mais, comme à chaque fois, le roman c’est bien plus que cela : sur quarante ans, le monde change, notre environnement tout autant, nos relations aussi et comme écrivait déjà Rutebeuf au XIIIe, « que sont nos amis devenus, que j’avais de si près tenus et tant aimés ? ».L’auteur reconnaît lui-même explicitement avoir très bien connu (et participé) à plusieurs « saisons des débutantes », avoir rencontré (par hasard) une dame d’âge mur, mariée et mère de plusieurs enfants qu’il qualifie comme (je cite) « le grand amour de sa jeunesse » et il nous apprend aussi qu’un camarade de Cambridge, qui comme lui avait participé à la Saison de 1968, était sur le point de mourir d’un cancer.Le roman, maintenant.L’histoire nous transpose en 2008, alors que le narrateur (dont on ignorera le nom pendant tout le roman - 644 pages -) reçoit une lettre d’un ancien ami avec qui il s’est « définitivement » disputé il y a quarante ans suite à « ce voyage au Portugal, à Estoril, en juillet 1970 ». Cet ami est Damian Baxter, qu’il a connu à Cambridge et qu’il a lui-même introduit dans ce microcosme aristocratique. Ce Damian a eu un succès phénoménal auprès de la gent féminine dans laquelle gravitait le narrateur et il dispose entre temps d’une fortune colossale. A la veille de mourir (il souffre d’un cancer au stade terminal), il charge son ancien ami d’une mission extrêmement difficile, qu’il est le seul, pense-t-il, à pouvoir mener à bien. Il a en effet reçu une lettre anonyme qui lui apprend qu’il a eu un enfant « dans le temps » et il a décidé de tenter de « rendre droit » ce qu’il a gauchit pendant ces années folles ; il veut en outre léguer sa fortune à cet enfant qu’il ne connaît pas. Pour des raisons évoquées brièvement dans l’entrevue qu’il a avec le narrateur, il devrait en principe y avoir cinq candidates possibles (en fait, peut-être six).Et le narrateur, un écrivain qui a moyennement réussi, d’accepter et d’inventer mille et un stratagèmes pour retrouver les candidates potentielles et déterminer laquelle d’entre elles est la mère de l’enfant de Damian.Un merveilleux prétexte pour Julian Fellowes pour nous promener, chapitre après chapitres, dans les « tea parties » et autres bals, rencontres, mariages des golden sixties dans « la haute société» et de nous ramener très régulièrement quarante ans plus tard, pour découvrir ce que tout ce «petit » monde (des ducs, comptes, barons, princes parfois ou encore ignobles parvenus) est devenu. La structure est relativement simple (même si le nombre de personnages est considérable et que je vous conseille de prendre des notes lors de votre lecture), puisque les différentes candidates sont présentées les unes après les autres. Evidemment, tout se recoupe, d’autant que le narrateur avait lui-aussi des espoirs plus ou moins secrets il y a quarante ans et qu’on sait (croit savoir) ce qu’il en est advenu. C’est très bien mené, car ici aussi les apparences sont (évidemment) trompeuses (comment pourrait-il en être autrement ?) et ce qu’on croit acquis à un moment l’est beaucoup moins dans un chapitre suivant.Bref, cela se lit avec un plaisir constant, car l’auteur distille, avec la régularité d’un métronome, son point de vue original - and goodness me, all so British, my dear - , humoristique, ironique ou caustique (souvent) sur la société en général et l’aristocratie anglaise en particulier.J’ai vraiment beaucoup aimé. Décidément, je suis devenu un « aficionado » de Julan Fellowes. A quand son prochain roman ou sa prochaine série (vous connaissez Downton Abbey, non ?)Quelques citations pour terminer (elles pourraient être légion, mais je dois me limiter) :- « Même s’ils disent le contraire, les membres des classes privilégiées ne détestent pas lire l’envie dans le regard de leurs contemporains de temps en temps » (p.71)- « Ce n’était pas la première fois que je me demandais comment dans la haute société, plus que dans les autres classes, des femmes extrêmement intelligentes peuvent vivre avec des époux aussi lourdement idiots sans que même le mari se rende compte du sacrifice quotidien consenti par son épouse » (p. 312)- « Ce qui est véritablement neuf [à notre époque] c’est le culte de la non-célébrité où l’on admire des gens parfaitement ordinaires comme s’ils étaient vraiment importants. La célébrité des inconnus est l’oxymore qui constitue véritablement une innovation contemporaine ». (p. 348)- « Quelque part dans le monde existe une religion selon laquelle nous mourons tous à deux reprises : une fois pour de bon et la seconde quand la dernière personne à nous avoir vraiment connu meurt à son tour, ce qui fait disparaître la mémoire de notre vie ». (p. 372)- [A propos de la chirurgie esthétique :] « Charcuter son visage pour plaire aux hommes ne me semble pas une marque convaincante d’égalitarisme. C’est même un signe de dépendance troublant, comme une sorte de version occidentale de l’excision, de la scarification ou d’autres méthodes venues du fond des âges pour affirmer la propriété de l’homme sur la femme ». (p.448)- « Je ne dois pas être le seul Anglais à trouver un peu morne cet interminable ensoleillement. J’aime notre climat. J’aime la lumière subtile des jours de grisaille et le parfum qu’il y a dans l’air après la pluie. Et surtout, j’aime le caractère changeant de notre climat. Vous connaissez le dicton : ‘Si vous n’aimez pas le climat anglais, attendez juste cinq minutes’ ». (p. 450)- « La seule différence entre une éducation aristocratique et un mode de vie petit-bourgeois, c’est que la haute société continue de pratiquer le mariage avant d’avoir des enfants. Toute dérogation est exceptionnelle. A part cela, on dirait que la plupart des traditions qui la distinguaient et en faisaient une tribu à part se sont totalement évaporées dans la nature ». (pp. 527-528).

et je voudrais tout d'abord féliciter le traducteur pour le travail fabuleux que représente cette histoire.En effet si l'on est attiré et imprégné par les personnages c'est grâce à une excellente traduction.Le narrateur (dont on ne connaîtra jamais le nom tout au long des 644 pages) nous transporte dans la noblesse des années 70 avec toutes les traditions et les hypocrisies que l'on peut imaginer.Un histoire originale, avec des passages un peu longs parfois, et dont le narrateur s'amuse à décrypter pour nous les codes ancestraux de cette noblesse qui s'enferme dans des préjugés et des convenances hermétiques. Ils sont un peu psycho rigides.En tout cas j'ai passé d'excellentes soirées à parcourir le destins de tous ces jeunes anglais devenus ou pas ce que leur famille attendait d'eux.

J'ai découvert Fellowes avec Snobs, que j'ai adoré. Nous retrouvons ici le même univers, presque le même narrateur, avec cependant un arrière plan plus sombre... Le style demeure élégant et un chouïa désuet, parfois, ce qui fait tout en charme et contraste avec certaines formules hyper percutantes.Fellowes est britannique jusqu'au bout de la plume, c'est aussi un merveilleux guide à travers la "bonne" société londonienne et le temps. Un vrai régal donc, un peu doux amer parfois, dont les questionnements trouvent facilement écho...Tous les personnages ne sont cependant pas aussi attachants, et c'est bien normal. J'ai par ailleurs eu quelques difficultés à rentrer dans le récit, lequel débute un peu trop fraîchement à mon goût. Et puis la magie a opérée et plus question de lâcher avant de connaître la fin !! Un épilogue tout en surprise lui aussi, même si comme dans la vie, tout était là pour qu'il se réalise !

Fan de « Downtown Abbey », j’ai eu envie de lire le roman de son scénariste. Julian Fellowes ne change pas véritablement de personnages puisque c’est toujours l’aristocratie anglaise qu’il incarne en connaisseur et avec un humour à la fois tendre et mordant. Les lieux sont si bien décrits que l’on n’est pas loin de l’adaptation cinématographique.L’auteur avance par contre un peu dans le temps. Ici, Damian Baxter, un ancien ami du narrateur, lui demande de partir à la recherche d’un enfant caché, supposément conçu dans les 60’s. Ce point de départ sera l’occasion de nous plonger dans cette époque. Évidemment, ce ne seront pas les 60’s des hippies mais celles des Débutantes, noblesse oblige. Les allers-retours entre cette période et aujourd’hui donneront lieu à une réflexion nostalgique sur le temps qui passe. A 20 ans, ils étaient jeunes et insouciants et, malgré toutes les stratégies de leurs parents ou leurs propres ambitions, ils se doutaient finalement assez peu de ce qu’ils seraient 40 ans plus tard. Les jeunes filles en fleur se fanent parfois… La recherche de l’enfant sert aussi bien sûr à créer un suspense. Mais je dirais qu’elle sert surtout d’accroche pour le lecteur. Je ne parlerai pas de véritable intrigue policière.« Passé imparfait » est drôle, bien écrit et si juste que l’on se croirait vraiment invité à un bal de la Saison londonienne. Pour moi, il ne manque qu’un je ne sais quoi au dénouement pour que le roman soit véritablement brillant.

Merveilleux écrivain!ce véritable aristocrate , avec un style magnifique, porte un regard aiguisé sur sa classe et les profonds changements et bouleversements apportés par les années 70.Passionnant et un vrai plaisir de lecture.

Une peinture au vitriol des années 60 et de la décadence de la société aristocratique anglaise.Un jeune et beau roturier, Damian Dexter, tel un Gatsby londoniense glisse au coeur de cette société en déliquescence.Le livre est à la fois cynique, savoureux et passionnant.Les temps changent mais le héros aussi et nous...A consommer avec une tasse de thé et peut-être un "nuage" de lait ?

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